ASTUCES AGRICULTURE

Notre But: vous informer et vous former

Champ de maïs

Avril - Mai: C'est la saison de maïs en Côte d'Ivoire

AfricaRice

AfricaRice Director General Dr Harold Roy-Macauley visits M'Be Research station near Bouake, in Côte d’Ivoire to announce the return of the AfricaRice headquarters from Cotonou, Benin, to Abidjan, Côte d’Ivoire, as directed by the Center’s Board of Trustees.

dimanche 7 mars 2021

Formation des producteurs et productrices à la détermination du KOR

 

La détermination du KOR nous permet de savoir la quantité d'amande de bonnes qualité contenue dans un sac d'anacarde. Les différentes étapes sont : 
- Échantillonnage 
- Quartage
- Pesage un kg
- Grainage
- Ouverture des noix avec le bec de calao
- Calcul du taux de défaut
- Calcul du Ra (rendement en amande) détermination de l'out turn. 

Au cour de cette formation nous avons partagé notre savoir faire en la matière. 





mardi 5 juillet 2016

Appel à mentors



Appel à mentors
Pour le projet "Renforcement de Capacités des Jeunes en Entrepreneuriat Agricole" 
Le chômage des jeunes est une préoccupation majeure pour de nombreux pays en développement en raison de ses effets négatifs sur l'économie, la stabilité sociale / la sécurité et le bien-être des populations en générale et les jeunes en particulier. En Afrique occidentale et centrale, les jeunes représentent plus de 60% de la population active. Il a été estimé que le pourcentage de jeunes de 20 à 24 ans qui auront à terminer l'enseignement secondaire passera de 42% à 59% de la population au cours des 20 prochaines années. Cependant, bien qu'ils auraient acquis un certain niveau raisonnable d'éducation, le manque d'expérience professionnelle reste le plus grand handicap. Bien que de nombreux emplois ont été créés, le marché de l'emploi n'arrive pas à résorber le nombre croissant de jeunes dans le besoin. Le coût de l'emploi inadéquat est élevé et sans aucune intervention urgente en termes d'opportunités d'emploi, les pays africains risquent de ne tirer avantage de l'énorme potentiel que représente les jeunes.

Le programme de mentorat a pour but d'encourager une orientation adéquate, l'apprentissage personnel et le développement des compétences entrepreneuriales dans le domaine agricole des candidats sélectionnés au sein du programme mentorat et la plateforme d'apprentissage en ligne.

Profile des Mentors: 

  • Expérience dans les technologies développées, les chaînes de valeur agricole et le leadership 
  • Une forte passion pour l'appui et l'encadrement des jeunes dans la création de leurs entreprises 
  • Disponibilité pour assister les mentorés au moins 4 heures par semaine
  • Bonnes aptitudes d'écoute et la capacité de résolution de situations difficiles 
  • Capacité de partager les expériences de réussites et d'échecs afin d'aider les autres à apprendre
  • Avoir une bonne maîtrise de la langue française et/ou anglaise
Roles des Mentors
  • Fournir un mentorat la période du projet
  • Répondre promptement aux questions et aux préoccupations des mentorés et animer des sessions de mentorat à travers la plateforme en ligne du projet 
  • Promouvoir l'utilisation des TIC et des médias sociaux dans l'adoption de technologies et contribuer à la promouvoir les vues et les téléchargements des vidéos Youtube (Version Française https://goo.gl/qv76Pk; Version française https://goo.gl/mydkz1) 
  • Participer à la conception de programmes de formations et de plans d'affaires sur l'agro-industrie dans le cadre des ressources en ligne au profit des mentorés 
  • Servir de modèle pour les jeunes Agripreneurs et aider à construire un réseau de jeunes dans les pays 
  • Implication dans le processus de sélections sur la plateforme en vue de constituer un réseau de participants par pays.
Avantages des Mentors

La position de Mentor n'est pas rémunérée, cependant, les candidats bénéficieront d'avantages suivants:
  • Favoriser la compréhension des questions relatives aux jeunes dans le secteur agricole
  • Certificat de reconnaissance du CORAF / WECARD
  • Connaissance approfondie du modèle agribusiness développé par le CORAF / WECARD
  • Servir de modèle
  • Exposition dans les médias

Livrables attendus:
A la fin de la deuxième phase du projet, les mentors seront tenus de fournir des success stories, des évaluations sur leur expérience et les résultats du projet par le biais de sondages en ligne, appels téléphoniques et vidéo, photos et vidéos courtes ...
A la fin de la deuxième phase du projet, les mentors seront tenus de fournir des success stories, des évaluations sur leur expérience et les résultats du projet par le biais de sondages en ligne, appels téléphoniques et vidéo, photos et vidéos courtes ...
Durée de la mission
La durée de l'engagement couvrira une période de 06 mois.

Soumission de candidatures
Pour postuler, veuillez remplir le formulaire en ligne: >> ici <<
La date limite de soumissions des candidatures est fixée au 08 Mai 2016, (23h59 GMT)
Les candidatures féminines sont fortement encouragées.

dimanche 3 mai 2015

AfricaRice désormais en Côte d'Ivoire



AfricaRice Director General Dr Harold Roy-Macauley visits M'Be Research station near Bouake, in Côte d’Ivoire to announce the return of the AfricaRice headquarters from Cotonou, Benin, to Abidjan, Côte d’Ivoire, as directed by the Center’s Board of Trustees.

Yacouba Sawadogo, L'homme qui a arrêté le désert


Modeste paysan burkinabè, Yacouba Sawadogo a réussi là où les organisations internationales ont failli : stopper l'avancée du désert dans l'un des pays les plus arides du monde, et transformer ainsi la vie de milliers de Sahéliens.
Au début, les voisins de Yacouba Sawadogo l'ont pris pour un fou. Comment planter des arbres allait sauver la terre craquelée de Gourga, village au nord-ouest du Burkina Faso, de l'avancée inexorable du désert ?
Mais 30 ans plus tard, c'est bien une forêt d'une quinzaine d'hectares qui sert de rempart au sable rampant du Sahel. Depuis, les habitants qui avaient fui sont revenus cultiver leurs champs. Tandis que des experts du monde entier se bousculent à la porte du vieux paysan pour étudier sa méthode, qui consiste en l'amélioration d'une technique agricole traditionnelle appelée Zaï : retenir l'eau de pluie et utiliser les termites pour enrichir le sol.
Outre le président Obama et les médias internationaux qui lui consacré moult reportages, l'expérience atypique de Sawadogo a fasciné jusqu'au réalisateur Mark Dodd, qui a produit le film " L'homme qui a arrêté le désert ", projeté fin octobre lors de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification ( UNCCD) à Changwon en Corée du Sud.

Plantes médicinale vitales

Il faut dire qu'au début, Sawadogo cherchait simplement un moyen pour cultiver dans une région semi-aride où la terre était devenue si stérile que nombre de paysans avaient migré vers les villes.
" Il n'y avait pas de nourriture à cause de la sécheresse et l'eau était très rare. "
Sawadogo s'est alors rendu compte qu'il ne suffisait pas de creuser des trous ordinaires pour planter, mais qu'il fallait les agrandir tant en largeur qu'en profondeur, pour retenir l'eau de pluie pendant une plus longue période.
Il a aussi utilisé du compost pour renforcer la croissance des graines de sésame et des céréales - sorgho et millet - qu'il produisait.
" Avec la méthode ancestrale, les eaux de pluie s'évaporaient trop vite et les cultures se fanaient en un temps record. Il me fallait pallier à ce problème. "
Suivant cette logique, l'agriculteur s'est naturellement préoccupé de l'avancée du désert qui allait engloutir les terres cultivables de Gourga. Alors, inlassablement et faisant fi des moqueries, il a commencé à planter des arbres.
Et de façon inespérée, cette pratique a non seulement sauvé la terre de la dégradation, mais elle a aussi restauré l'eau souterraine à des niveaux jamais atteints. Les arbres sélectionnés sont devenus une épaisse forêt qui fournit aujourd'hui, outre le bois de chauffe, une palette de plantes médicinales vitales dans ces contrées reculées.

Droit de propriété contesté

Aujourd'hui, Sawadogo distribue gratuitement des semences à planter aux agriculteurs de la région sahélienne qui s'étend de l'Atlantique à la Mer rouge. Et selon le facilitateur des Initiatives de reverdissement en Afrique pour le Centre de la coopération internationale, Chris Reij,
" C'est bien un petit agriculteur qui a trouvé, seul, un système qui marche là où des organismes mondiaux ont échoué. "
Yacouba a probablement ouvert une voie : la plantation d'arbres, ainsi que l'utilisation d'engrais sur les champs et les pâturages ont déjà été adoptées par de nombreux agriculteurs africains et ont contribué au reverdissement de plus de six millions d'hectares de terres à travers le continent.
Mais cet élan est encore freiné par les politiques mises en place dans différentes zones touchées par la sécheresse.
Selon le spécialiste de l'environnement pour la gestion durable des terres au Fonds pour l'environnement mondial ( FEM), Mohamed Bakarr :
" Le fait que les dirigeants de certains pays empêchent la population de posséder des arbres ou d'accéder à la propriété foncière font que les gens négligent ces ressources. "
Une épée de Damoclès à laquelle n'échappe d'ailleurs pas Yacouba Sawadogo : au nom du développement, le gouvernement burkinabè est en train de s'approprier la terre et surtout la forêt qu'il a planté.
Sa seule solution serait de racheter au moins ses arbres à son propre Etat, solution à environ 100000 euros, qu'il estime injuste. Et surtout inabordable.

samedi 24 mai 2014

LE SAUVETAGE DES ELEPHANTS EN CÔTE D'IVOIRE

Les éléphants sont une espèce de plus en plus rare en côte d'ivoire.



Suivez cette vidéo et posez nous des questions, donnez votre avis sur cette action qui consiste à sauver des bêtes en voie de disparition.



mercredi 7 mai 2014

PHOTO DE LA SEMAINE

L'ACTIVITE AGRICOLE REND HEUREUX ET APPORTE BEAUCOUP DE SATISFACTION


lundi 5 mai 2014

LA VENTE DE FRUITS EN CÔTE D'IVOIRE: UNE ACTIVITE RENTABLE

On les entend chaque jours dans les marché, elles appellent les passant pour acheter des mangues en ces termes: 2 à 150 F CFA; 3 à 300 F CFA. Elles se sont les vendeuses de fruits. Ce sont des femmes battantes qui luttent chaque jours pour nourrir leurs famille. En les voyant, on réalise bien que la vente de fruits permet vraiment de gagner sa vie et de prendre sa fammile en charge.  Nous avons parcouru la ville d'Abidjan et avons recueilli dans la commune de Marcory le témoignage de l'une d'entre elles,  Mlle GROU Yvonne, elle nous livre son témoignage.